mardi 30 août 2011

C' plus d'mon âge!

Ce week-end Antoine, Jérome et moi avons fait un un p'tit tour au Luxembourg pour faire le déménagement de notre JJ.

3h30 de camionnette, ce n'est rien mais suivi d'une nuit de camping sur le sol dur de son studio sympa mais crasseux, c'est pas cool!



dur dur le réveil...

Le lendemain, virée chez le géant suédois en Belgique, à 1/4 heure de route... comme dirait Antoine, dans c'pays, tu t'plantes de sortie d'autoroute, tu t'retrouves à l'étranger! Retour pour un après-midi de portage-trimbalage au 3ème suivi de montage, récurage, frottage, nettoyage dans un studio crad' et surencombré de cartons, de meubles en vrac, de vêtements, de papiers, d'outils, le grand souk kouaahhh... que c'est bon quand c'est fini!



une clé Allen siouplait'

Le soir nous avons fait un p'tit tour dans la vieille ville, l'hôtel de ville, la chambre des députés, le home sweet home du Grand Duc... joli mais sous une pluie fine... et d'un calme... l'anti HK!
Un bon dîner bien mérité dans un resto libanais, une nuit dans un lit, que c'est doux!

Retour dimanche, ouf, le week-end avec les garçons, c'était sympa mais franchement les déménagements, C'plus d'mon âge!


... et un p'tit proverbe pour nous ramener en Chine: Dépasser les limites n'est pas un moindre défaut que de rester en deçà.Confucius



vendredi 26 août 2011

Balade dans les hutongs - Pékin

Une balade dans les hutongs de Pékin font parmi les incontournables de la ville de Pékin.
l'incontournable balade en rickshaw,
nous avons préféré la marche!
Les hutongs sont les quartiers anciens propres à la ville de Beijing. Leur construction a débuté sous la dynastie des Yuan et s'est poursuivie sous les Ming (1368-1644) et les Qing (1644-1911). Les hutongs remarquables se concentrent des deux côtés est et ouest de la Cité Interdite, où la plupart des habitants étaient auparavant des membres de la famille impériale et des nobles. Quant aux hutongs plus simples et étroits, ils se trouvent dans les parties sud et nord de la ville, loin du Palais impérial. Ils étaient habités par les commerçants et les gens du peuple. 

vue sur les toits des hutongs
ruelle proprette


Les hutongs sont formés de siheyuans, enclos de 4 maisons donnant sur une cour carrée arborée, alignées côte à côte, séparées de ruelles et de passages étroits. Les hutongs côte à côte formaient la ville... j'espère que vous m'avez suivi. Bien sûr la taille des siheyuans variaient selon le statut de l'occupant... c'est comme partout ^_^!

petite entrée...
pour les petites gens
grande entrée...
pour les grandes gens
pas toujours en bonne condition




le grand bazar parfois




très clean souvent.
A l'époque de la République de Chine (1912-1949), les hutongs de Pékin ont progressivement décliné. Beaucoup de siheyuans ont été partagés par plusieurs foyers. Pendant les 10 années de la « Révolution culturelle », beaucoup de décorations, de statues anciennes qui ornaient les cours et les maisons ont été détruites.


Aujourd'hui, la ville compte encore des milliers de hutongs autour de la Cité Interdite et au sud de la ville. On restaure à tour de bras, les hutongs vers le lac Hubei deviennent le quartier branché de la ville. L'occidental s'y plait, les touristes (dont nous) affluent, bars, cafés, boutiques hypes, galeries d'art remplacent les commerces traditionnels.


en restauration
à restaurer...

Quelques vieilles venelles demeurent, des petites gargottes et des échoppes occupent encore les façades. La vie qui se déroule paisible dans les hutongs contribue au charme de la découverte de Pékin, c'est vraiment sympa de s'y balader même s'y l'on a pas accès aux arrières-cour.

Mamie prend l'air
marchand de riz


noix en tout genre
épicerie








j'ai acheté 3 pêches délicieuses,
il était ravi!

Néanmoins il faut bien reconnaître que la vie dans ces petites maisons souvent insalubres ne doit pas être folichonne tous les jours. Peut-on reprocher la frénésie de construction d'immeubles modernes?

et pour sourire: l'entrée d'un hutong restauré en bar branché.

Mao n'est plus ce que c'était!

mardi 23 août 2011

Canard laqué - Pékin

- Mais quand vas-tu parler de choses sérieuses dans ton blog?
- ???!!!???
- ... du canard laqué!!!


Canard laqué, chaque personne une fois rentrée dans un resto chinois a lu sur la carte, n°x canard laqué et l'on vous sert un filet de canard tranché, la peau vaguement croustillante certes mais...
Le canard laqué à la Pékinoise, c'est un incontournable de la gastronomie de Pékin, et c'est un régal! Quand on y a goûté, difficile de ne pas y revenir. Nous en avons mangé 3 fois lors de notre séjour d'une semaine à Pékin, Jérome en aurai bien mangé plus souvent...
Le canard laqué, c'est tout un art. Il était préparé à l’origine dans la cour impériale des Ming. Étant devenu le plat favori de l’empereur Qian Long et de l’impératrice Ci Xi, il était en vogue sous les Qing aussi... et est resté un des mets les plus fameux de la gastronomie chinoise. La préparation du canard est une préparation longue et amoureuse... si vous voulez en savoir plus je vous invite à aller vous balader sur wikipédia moi je préfère la dégustation ^_^!


le canard préparé attend le gourmand...


Un canard pour 2, c'est bien... disons que l'on en mangerai volontiers plus mais cela ne serai vraiment pas raisonnable. Si vous êtes dans le bon resto, parce que là bien sûr, il y a de tout... c'est un festin qui vous attend. Avec Jérome nous avons dégoté un resto tout à fait modeste, qui ne paie pas de mine, qui n'est pas dans les guides mais plein de chinois... ce qui est un très bon signe à mon avis, et qui nous a ravi. Tout près de la Porte Qianmen, le resto s'appelle Bei Jing Jin Zheng Yang Restaurant, si cela vous dit... Nous avons choisi l'option peau croustillante...et sachez qu'il peut être servi chaud ou froid.

le BeiJing Jin Zheng Yang
rien de glamour... mais ^_^

D'abord, la présentation de la bête rôtie juste comme il faut... couleur datte faut-il dire... la peau luisante, un bonheur visuel, cela compte.
Ensuite, la découpe... le cuistot muni d'une sorte de hachoir hyper coupant, cisèle de fines tranches de filets. Les puristes vous diraient que l'on doit servir la peau seule en premier, la chair étant servie en deuxième plat. La peau servie avec la chair, c'est tout neuf, cela vient de sortir... question de mode.

la découpe de la bête


sur la table, galettes, canard, sauce
et verdure variée

Par ailleurs, votre charmante serveuse vous apporte des petites galettes de blé, une sauce onctueuse couleur chocolat et des petites bricoles délicieuses...lamelles de ciboules, d'oignons verts, de concombre, salade, menthe, germes de radis et autres, cela dépend des restos, le tout annoncé en chinois, ça met l'eau à la bouche... hummm!!!

galette farcie, roulez et...

Après, c'est à vous de bosser... muni de vos baguettes, prenez une galette, barbouillez votre galette avec de la sauce, saisissez délicatement un morceau de canard avec sa peau, des légumes selon votre inspiration et placez-les dans la galette, roulez, retrempez dans la sauce... croquez... la peau croustille, la chair est moelleuse, la verdure apporte de la fraîcheur... explosion de saveurs, de textures... savourez... Miaaam!!! c'est exquis!!!

croquez!

...et recommencez!
Pour finir, on vous servira un bouillon... de canard assorti de concombre croquant flottant, on a pas l'habitude mais c'est très bon... qui va faciliter votre délicate digestion, Sluuurp!!!

couleur pâlotte mais délicieux.

Finalement, si j'étais un canard, quitte à devoir finir ma vie dans une casserole, c'est bien en canard laqué que j'aimerai finir mes jours ^_°

...et un petit proverbe pour digérer: bien manger, c'est atteindre le ciel.

Pour vous régaler
Bei JingJin Zheng Yang Restaurant
Beijing, Xicheng, Qianmen West Street
+86 10 6303 4538


vendredi 19 août 2011

Forêt de Pierres - Shilin - Yunnan - Chine

Aujourd'hui, retour en Chine avec la visite de la Forêt de Pierres de Shilin, à 120km au sud-est de Kunming, dans le Yunnan. Je sais, je vous balade un peu... allez voir sur la carte... nous sommes à 1900m d'altitude.

Classée par l'UNESCO au patrimoine géologique de l'Humanité, c'est une des merveilles du patrimoine naturel de cette province. C'est une formation géologique étonnante. Elle consiste en un ensemble de roches karstiques gris. Un karst est un massif calcaire façonné par de l'eau acide. C'est le résultat de l'érosion sur des sédiments calcaires de plus de 200 millions d'années.
Le parc de la Forêt de Pierres compte 80 ha mais l'ensemble de la zone géologique couvre 26000 ha.


Bien sûr, la Chine s'ouvre au tourisme, un bon %tage des 1,3 milliards de chinois sont là... il y a foule... ici l'expression tourisme de masse prend tout son sens.

que de monde...


Nous sommes accueillis par des personnes du village en costume folklorique de la minorité ethnique Sani originaire de la région. Les hommes jouent la musique, les femmes dansent, tout pour satisfaire le parfait touriste... Ouf, ils sont chaleureux et très souriants.

le village
bonne bouille non?
sous les épines rocheuses...
...et dansez maintenant!


Des groupes suivant un guide, micro devant le nez , tenant un porte-voix dans une main et un petit drapeau coloré dans l'autre, il faut faire abstraction. Avant d'arriver sur le site il faudra aussi passer par un petit marché local, plutôt sympa et la traditionnelle multitude de marchants de souvenirs... manifestement tout le village profite de la manne, ils ont bien raison finalement.


tout pour le déjeuner...
Miamm!

Une fois que l'on y arrive à faire abstraction de tout le folklore, alors oui il faut bien reconnaître que c'est un environnement étonnant.

la pagode-pavillon-panaramique

étrange vue...



















La formation karstique semble issue de nulle part, sorties de rien, ces roches s'élancent vers le ciel. Ces aiguilles rocheuses de 5 à 30 m de haut ont des formes fantastiques auxquels les chinois attribuent toutes sortes de superstitions et de légendes. A chaque rocher ou presque, a été attribué un nom, comme toujours en Chine, plus ou moins imagé...


l'étang de l'épée
la mère et son enfant



Peu de monde s'aventure au delà du pavillon panoramique duquel, il faut bien dire, on a une vue fantastique. En s'enfonçant dans le dédale de sentiers, une atmosphère surréelle nous envahit, rapidement l'on s'égare, on tourne en rond, c'est un véritable labyrinthe. Atmosphère de contes... à chaque détour pourrait apparaître un personnage fantasmagorique... frissons...




fiction??? hélas non...
Ahhh, une bonne rupture de faisceaux,
j'en rêve...


Cet endroit est réellement étonnant mais il faut vraiment sortir des sentiers battus pour l'apprécier ^_^


Tous mes messages sur le Yunnan!
1er séjour!
Xizhou
Shaxi
Black Pottery - Nixi
3ème séjour!
... en balade au Yunnan
Day 6 - de NingLang à Lijiang

mardi 16 août 2011

Brassens

Georges Brassens a disparu il y a 30 ans, il aurait eu 90 ans cette année. L'occasion a été saisie pour lui consacrer une expo à la Cité de la Musique de la Villette, à Paris. 
Gamine, j'écoutais les disques de mon père qui grattaient sur mon tourne-disque. Ses mélodies faciles à chanter (pensais-je!) m'enchantaient, son accent (exotique pour moi l'alsacienne) m'intriguait, quant aux paroles, je ne pense pas que je les comprenais toutes, mais l'utilisation de gros mots, j'adorais. 
Brassens a compagné mon adolescence, c'est une de mes madeleines.




Nous, nous avons profité d'une météo très moyenne pour voir l'expo. 20 personnes devant nous, une bonne 1/2 heure de queue... à ce rythme là, pour voir Mao, nous aurions passé la journée... 


L'expo est très sympa, le décor recréé évoque le Paris des années 50, intime voire intimiste, le tout illustré avec pertinence et impertinence par Johann Sfar, c'est très réussi.

l'affiche de l'expo


On est replongé dans l'époque: de son enfance à Sète, son arrivée à Paris, le 14ème arrondissement (cher à Philoo), ses amis, sa misogynie réelle ou feinte, sa passion pour les cimetières, son goût pour la poésie et la lecture, son irrévérence envers les autorités, son utilisation de ce que l'on appelait des gros mots, ses guitares et ses pipes, ses textes notés d'une écriture appliquée, ses enregistrements de disques, on sait tout ou presque... c'est très complet. 


Les chansons de Brassens passent en boucle, c'est bien agréable. Au sous-sol, un de ses concerts à Bobino est diffusé sur grand écran, c'est comme si on y était, vraiment sympa!

...j'ai choisi "la ballade  des gens qui sont nés quelque part",
c'est un choix d'expat' mais ce n'est pas exhaustif,
fouillez, vous trouverez votre chanson!

Seul bémol... le monde (dont nous, évidement ^_°). L'expo est manifestement conçue pour un public restreint... et aussi, difficile de ne pas fredonner en entendant les chansons diffusées mais tout le monde n'est pas Brassens ^_^ .

cette photo me rappelle quelque chose ^_^,
Maman et son bon vieux Rollei!


... et on se met à rêver d'être dans cette expo, en toute intimité, en père peinard avec quelques copains avertis, un peu comme Brassens aimait la vie. 






vendredi 12 août 2011

Grande Muraille - Mùtiànyù

Evidemment, on se souvient tous de la fameuse phrase de notre Ségo nationale... "Comme dit le proverbe, qui n'est pas venu sur la grande muraille n'est pas brave. Et qui vient sur la grande muraille conquiert la bravitude"* Eh bien ça y est, Jérome et moi avons conquit la bravitude ^_^ 



Pour conquérir la bravitude, pas question de prendre un tour organisé pour touristes lambda, on va y aller par nos propres moyens... mais grâce à nos guides papier. Le site de Simataï is under construction paraît-il... on opte pour le site de Mutiànyù.
Lever au p'tit matin, après un solide petit déj' à l'hôtel, nous voilà, sac au dos (enfin moi...). Métro jusqu'à la gare routière puis bus n°918 et enfin, un mini bus; 12 yuans jusqu'à Huairoù puis 25 yuans jusqu'à Mùtiànyù. Sur le papier, rien de bien compliqué. 
On grimpe dans un bus bringuebalant, beurk, ça sent la saucisse chinoise... 5 places de front dans le bus... ils ne sont pas bâtis comme nous ces chinois et n'ont pas les larges épaules de Jérome à côté d'eux... C'est un bus rapide, 60 km/h de moyenne, on a 90 km à faire...






Un peu avant l'arrivée, je le repère... un homme s'approche de nous... c'est ici, il faut descendre à l'arrêt prochain pour vous rendre à la Muraille. Je râle, refuse, mon voisin de bus nous confirme que c'est bien là... On descend, ça sent l'arnaque à plein nez... Je peux vous emmener à Mùtiànyù dans ma voiture, 25 yuans chacun... le mini bus coûte aussi 25 yuans... nous sommes au milieu d'une ville, donc au milieu de nulle part, impossible de lire le moindre panneau, où est la gare des bus? on n'a pas vraiment le choix, nous acceptons. Nos 15 km de trajet se passent très bien, le chauffeur roule cool, ouf!, je n'étais pas très fière, je n'ai plus 20 ans...
Arrivée sur place, accueil impérial. Une horde de vendeurs ambulants nous accostent. Je tente d'acheter une pêche: 25 yuans la pêche??? 2,5 €, on nous prend vraiment pour des gogos!!! je fuis.

au sommet de la colline, la muraille


Pour conquérir la bravitude, trois solutions: un télécabine, un télésiège ou les jambes. Le site est extrêmement montagneux et escarpé, nous optons pour le télécabine, trop dure la bravitude... mais elle coûte 120 yuans/personne soit 12€, chère la culture en Chine.
Une fois sur le mur, ouf, la plupart des marchands sont restés en bas... nous entamons la balade. Il fait très chaud, 35°, très lourd et très gris, dommage. 

trop dure la bravitude...


Un peu d'histoire.
La construction de la Grande Muraille a débuté env. 500 ans av.JC, mais c'est env. 200 av. JC, sous la dynastie des Qin qu'elle a réellement pris forme. Le but était de se protéger de l'incursion des nomades. Plusieurs tronçons ont été réalisés indépendamment par différents royaumes puis ont été reliés entre eux. 
Des centaines de milliers d'ouvriers ont participé à sa construction. On estime que 180 millions de m3 de terre ont été utilisés pour former le coeur de l'ouvrage et l'on dit qu'il faut ajouter à ce chiffre, les corps des ouvriers morts à la tâche. Certains avancent le chiffre de 10 millions d'hommes... ce qui en fait aussi le plus grand cimetière du monde.
La Grande Muraille compte dit-on environ 6700 km de murs mais aussi 250 km de tranchées et 2000 km de barrières naturelles. 
Tous les chiffres sont approximatifs, la seule chose certaine est que, non, on ne voit pas la muraille de la lune.


6700 km de long...
... mais peu de restaurés et accessibles



Dans les années 1400, les Ming ont entreprit de couvrir le mur de grosses dalles et de le fortifier avec des briques. Les travaux durèrent plus d'un siècle... et ne servirent à rien puisque les Mandchous s'engouffrèrent dans l'Empire du Milieu et y restèrent 250 ans.

un poste de guet construit en 1404


La partie du mur restaurée à Mùtiànyù fut édifiée sous la dynastie Ming sur le mur déjà existant. Ce tronçon est très impressionnant, il est hérissé de 26 tours de guets d'où les guetteurs se transmettaient les informations par des signaux de fumée. Certaines parties sont extrêmement raides voire vertigineuses et des marches...  
Nous avons arpenté ce tronçon de muraille d'avant en arrière, fait au total 5 km de balade en 4 h épuisantes, bu une quantité énorme d'eau et monté un nombre incalculable de marches... Se trimbaler en armure sur ce mur... ce ne devait pas cool d'être en garnison ici.


raide...  très raide,
et avec des marches hautes...
très hautes parfois


une bouteille d'eau, xiéxié,
ouf, il y a quelques marchands ^_°


Les chinois n'ont pas leurs pareils pour transformer un lieu historique donc touristique... en parc d'attraction. Nous avons joué le jeu, c'était marrant mais c'est vraiment dommage car le site est magnifique et vraiment impressionnant. 
Je comprends la renommée de cette merveille (trop joliment?) restaurée qui n'est en fait qu'une fortification militaire. Il y a une harmonie dans cette construction qui épouse les formes et les couleurs des collines qu'elle serpente... comme pour former le dos d'un dragon.

et pour redescendre, une luge d'été... 
fun!?!


Pour rentrer, nous avons retrouvé notre chauffeur qui entre temps avait recruté 3 autres personnes... à six dans sa voiture... nous avons négocié le prix, pour le fun surtout, 15 yuans (1,5€)/personne pour 15 km, une très bonne affaire finalement ce chauffeur ^_° 




*Citations:
- Qui n'a jamais gravi la Grande Muraille, n'est pas un homme véritable" Mao Zedong, la phrase de Ségo sent à plein nez la mauvaise traduction... et exit l'auteur...
- Escarpé com' c'est, fau' vraiment être c... pour croire qu'une armée puisse envahir le pays par ici!, ça, c'est de notre grand stratège Jérome

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